Entre les années 6o et aujourd'hui, quelque chose d'essentiel s'est produit: les frontières ont virtuellement disparu; nous avons été témoins de la fin de la guerre froide et de changements spectaculaires des méthodes de travail; nous avons appris à apprécier la valeur de ce qui est différent et nous avons assisté à l'émergence d'une société en réseau qui va toujours plus vite grâce aux ordinateurs et aux nouvelles technologies de l'information et de la communication. On a commencé à comprendre l'importance de l'élément humain dans les activités de l'entreprise et le caractère inévitable de l'évolution naturelle.
Le monde a longtemps été influencé par des tendances qui ont anéanti les fondements de notre rêve: avoir un bon diplôme et travailler dur devaient nous assurer un niveau de vie stable. A notre grande surprise, beaucoup se sont retrouvés sans emploi et sans perspectives d'avenir à cause des conséquences désastreuse d'initiatives telles que l'optimisation des ressources ou de la qualité totale. Dans ce contexte, la créativité et la prise de risque responsable n'avaient plus leur place. Les organisations se sont retrouvées dirigées par des responsables hiérarchiques rigides et manquant de liberté. ils ne se rendaient pas compte que les organisations flexibles sont plus performantes et mieux adaptées lorsqu'il s'agit de capitaliser les opportunité es du monde des affaires, au moment où elles surgissent.
Si l'on considère l'entreprise du point de vue de sa richesse immatérielle, on constate alors que la connaissance réside dans chacun des êtres humains présents dans le système. La façon dont ils passent leur temps, se nourrissent de leurs échanges, et soumettent des idées destinées à améliorer certains fonctionnement de l'entreprise est fondamentale pour la survie de leurs organisations.
C'est sa capacité d'innovation qui apporte aujourd'hui à une entreprise les compétences distinctives qui lui permettront de réussir.
" je me suis toujours interressée à l'éducation et à la mise en place de nouvelles idées.
Dans les années 60, nous étions des activistes. Dans les années 70, nous étions décrits comme des acteurs du changement. Dans les années 80, nous sommes devenus des statèges, imaginant un futur que les autres ne pouvait apercevoir. Aujourd'hui nous sommes les architectes de la transformation, des pionniers imaginant un futur basé sur la collaboration et non sur la compétition..."
Debra M Amidon
mardi 30 juin 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire